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La croissance du PIB de la France au 2ème trimestre n’annonçait pas un retour durable de la croissance. Il s’est en effet replié de 0,1 % au 3ème trimestre. Recul de la consommation des ménages, de la formation brute de capital fixe des entreprises, de la production de biens et services et des exportations ; beaucoup de mauvais indicateurs au niveau national, donc.

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  • Début de saison mitigé pour les hôtels du Loir-et-Cher qui enregistrent une baisse de 2 % des nuitées.
  • Globalement, le département résiste mieux que les autres départements de la région grâce à la clientèle étrangère qui progresse de 16 %.
  • En cumul à fin mai 2013, le taux d’occupation moyen est en recul de 1,5 point (- 1,9 point en région Centre). Il s’établit à 43,1 % contre 48,1 % en région Centre.

Retrouver les résultats de mai de l'enquête de fréquentation hôtelière.

Résultats de l’enquête de fréquentation hôtelière INSEE/DGCIS/Partenaires régionaux. Cette enquête est cofinancée en région Centre par l’INSEE, le CRT Centre-Val de Loire, la CCI Centre, l’Ad2T du Cher, le CDT d’Eure-et-Loir, l’ADT de l’Indre, l’OET de l’Indre-et-Loire, le CDT du Loir-et-Cher, l’OET de Loir-et-Cher et le CDT du Loiret.

Les déchèteries dépassent la collecte ordinaire


Les résultats des différentes collectes de déchets opérées en Loir-et-Cher semblent s’être stabilisés depuis plusieurs années aux alentours de 200 000 tonnes.
Le trait le plus marquant de la campagne 2011 tient sans doute à la fréquentation renforcée des déchèteries qui glanent des volumes désormais supérieurs à ceux collectés en mode ordinaire. La progression des apports touche tous les types de déchets mais plus particulièrement les végétaux et surtout les gravats. Les efforts déployés pour organiser de nouvelles filières de valorisation (équipements électriques et  électroniques, textiles...) commencent à porter leurs fruits.
Plus globalement, on observe que les mesures prises pour faciliter le tri, comme la distribution de bacs mieux adaptés aux besoins des particuliers ou la mise à disposition de points de collecte supplémentaires, ont une répercussion rapide sur les volumes recueillis.
De fait, 59 % des déchets ménagers sont à présent collectés en mode séparatif. Cette proportion est en constante augmentation, manifestant l’efficacité des politiques menées en ce domaine par les collectivités à travers leurs syndicats. En atteste un poids annuel de déchets triés par habitant (356 kg) supérieur de près de 70 kg au ratio national... A cet égard, le Loir-et-Cher fait figure de bon élève.
Cette évolution s’accompagne également d’une amélioration de la qualité du tri qui offre, in fine, davantage de possibilités de valorisation. En particulier, les progrès soutenus du recyclage matière ne perdent rien de leur intensité : cela concerne 27 % des déchets ménagers et assimilés (+ 2,4 points en une seule année).
L’élimination des déchets par l’incinération continue de se substituer à la solution du stockage ultime : en 2011 la valorisation thermique s’applique à 84 % des ordures ménagères brutes et, plus largement, à 35 % du gisement collecté. L’enfouissement est à présent inférieur de moitié à ce qu’il était cinq ans auparavant ; il concerne moins de 22 % des volumes.
Globalement,  près des 4/5èmes des déchets sont ainsi valorisés. Les bons résultats de l’année 2010, qui avaient permis aux objectifs du Plan départemental d’être atteints, sont confirmés en 2011 ; les tendances de fond demeurent inchangées. Ainsi, même si le calcul du taux de valorisation issu du Grenelle est différent de celui adopté par le Plan, le cap fixé pour le taux de recyclage matière et organique pour 2012 a été dépassé avec deux années d’avance. Depuis, la poursuite des efforts permet d’envisager avec confiance le respect de l’objectif retenu pour 2015.
Le chemin restant à parcourir pour répondre aux autres exigences du Grenelle n’en demeure pas moins important.  Il conviendrait à l’avenir de réduire le poids de l’incinération, au profit des autres modes de valorisation. En outre, la mise en place des équipements nécessaires au développement de nouvelles filières peut s’avérer difficile, notamment dans certaines déchèteries anciennes. Par ailleurs, les évolutions récentes montrent qu’il ne sera pas aisé de réduire la production de déchets ménagers dans les proportions préconisées.
Soulignons enfin, une nouvelle fois, que le Loir-et-Cher exporte dorénavant beaucoup plus de déchets qu’il n’en importe, faute de trouver sur place des établissements proposant des solutions de recyclage.

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Analyse réalisée sur la base de 157 réponses exploitables

Sans croître apparemment en intensité, le marasme se poursuit. L'activité s'est contractée dans une bonne majorité des entreprises et les dirigeants n'anticipent pas de reprise dans l'immédiat. Ils sont d'autant moins enclins à la faire que les quelques espoirs, timides, qu'ils avaient formulés lors de l'enquête de mars ne se sont pas concrétisés.

Les pertes de clients ou de marchés sont plus répandues, mais l'étau des difficultés financières s'est un peu desserré chez les répondants, malgré l'allongement des délais de règlement des factures par les clients.


L'impact sur l'investissement, toujours premier touché lorsque les perspectives s'assombrissent, est important, puisque des reports sont opérés dans 2 établissements sur 3. C'est le cas également pour les postes non permanents (intérim en particulier), qui servent de variable d'ajustement en fonction du niveau d'activité. En revanche, le recours au chômage partiel demeure très marginal tout au long des enquêtes ; les données de l'UT Direccte montrent d'ailleurs que la mesure est nettement moins utilisée qu'en 2009. Les effectifs permanents, jusque-là à peu près épargnés, commencent à leur tour à subir les effets d'un ralentissement qui s'installe. Tous les secteurs ne sont cependant pas dans la même situation, le commerce de gros étant le plus concerné.

La position vis-à-vis de l'innovation est très variable d'un secteur à l'autre, voire d'une entreprise à l'autre. Les conclusions générales sont assez ardues à établir. Face au malaise ambiant, elles sont toutefois plus nombreuses, globalement, à freiner ou stopper complètement les efforts en la matière qu'à les intensifier.

Les prévisions pour les prochains mois ne sont pas bonnes. Les carnets de commande se dégarnissent dans près d'un cas sur 2, bien davantage encore dans le commerce de gros. Paradoxalement, la visibilité à un peu plus long terme tend à s'améliorer, notamment dans l'industrie. Il ne devrait pas y avoir d'amélioration sur le plan de l'emploi, les tendances actuelles de réduction d'effectifs étant amenées à se prolonger.


Les soldes d'opinion montrent bien l'état d'esprit des dirigeants : inquiets par le niveau des commandes pour leur propre entreprise, très pessimistes sur l'économie en général. Ce point de vue est évidemment subjectif, mais le moral est un paramètre important dans la capacité à rebondir.

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